La croyance relative à Byron


Le poète Lord Byron et le vampire

Le Vampire est nouvelle traduite de l'anglais de lord Byron, par Faber (1819). Cette nouvelle, publiée sous le nom de lord Byron, n'est pas l'ouvrage de ce poète, qui l'a désavouée. L'auteur n'a pas suivi les idées populaires sur les vampires, il a beaucoup trop relevé le sien. C'est un spectre qui voyage dans la Grèce, qui fréquente les sociétés d'Athènes, qui parcourt le monde, qui se marie pour sucer sa femme.
Les vampires de Moravie étaient extrêmement redoutés, mais ils avaient moins de puissance. Celui-ci quoiqu'il ait l'œil gris-mort fait des conquêtes. C'est, dit-on, une historiette populaire de la Grèce moderne que lord Byron raconta dans un cercle, et qu'un jeune médecin écrivit à tort, car il remit à la mode, un instant, des horreurs qu'il fallait laisser dans l'oubli.

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